30 juin 2019

Suisse 2020 en MTB

Puisque je ne peux retourner en vélo en Europe cet été (mes assurances m’obligent à attendre 6 mois avant un prochain voyage actif), je suis à repenser à retourner en Suisse en MTB en 2020. Trois semaines pour retourner à Verbier, Zermatt et St. Moritz. Arrivée à Genève, retour sur Zurich.

De Verbier, je retourne certainement à Chamonix et au Grand St-Bernard par d’autres sentiers, maintenant que je connais le coin, je sais où aller jouer sur deux roues. Possibilité d’une ou deux sorties avec guide aussi. 


À Zermatt, il y a pleins de sentiers que je n’ai pas roulé dont celui qui longue le glacier du Gornergrat et celui le long de la moraine du glacier de Z’Mutt. Il y a également un très beau sentier de muletier entre Zermatt et Visp de 38km à faire. De plus, il y a toujours la possibilité de retourner à Aletsch sur d’autres sentiers aussi.

À St. Moritz, j’ai eu beaucoup de pluies lors de mon passage en 2016, donc y retourner pour explorer d’autres secteurs ne serait pas vilain non plus. Je pourrais également ajouter un détour à Livigno en Italie, mais cette fois avec mon MTB.

S’il y en a qui voudrait me suivre pour une, deux ou trois semaines, me faire signe. Mes plans sont préliminaires et peuvent encore changer, mais ce sera en Suisse. J’ai ajouté les liens de mes dernières visites pour vous inspirer. Ceux qui m’en ont déjà glissé un mot, on en reparle bientôt.

Il y a également pleins d’autres endroits à découvrir en Suisse comme les Portes du Soleil qui chevauche la frontière franco-suisse, Crans-Montana, Grinderwald, Lauterbrunnen et Lenzerheide pour ne nommer que ceux-ci.

23 juin 2019

Assurances

Ouais, je dois vérifier avec mes assurances si je peux retourner en Europe en MTB en septembre prochain. Puisque j’ai eu une fracture en juin, je dois normalement attendre 6 mois avant d’être couvert à nouveau pour une fracture aux jambes. D’ailleurs, j’en ai encore pour 4 à 6 semaines avec ma prothèse, et après c’est la physio qui m’attends aussi pour quelques semaines de plus. Le MTB étant certainement plus à risques que le vélo de route, je dois forcément reporter mes vacances en MTB en Suisse ou Italie en 2020, puisque 6 mois d’attente me mène à janvier 2020.



15 juin 2019

En rédaction

En ce weekend pluvieux et avec une jambe dans une prothèse (que je dois porter encore pour minimum 4 semaines), c'est le meilleur temps pour débuter la rédaction de mon livre photos grand format. Je prévois déjà qu'il sera moins volumineux que mes dernières aventures sur deux roues étant donné que mes incidents m'ont plutôt limités dans mes déplacements.


Je suis déjà à revoir si je ne retournerais pas en Suisse en septembre pour profiter de vraies vacances. À moins que je me dirige vers l'Italie via Venise pour une sixième fois. Projets de vacances à l'étude. 



13 juin 2019

Une autre visite à l’urgence

Ma cheville ne s’est pas améliorée depuis une semaine. J’ai donc consulté un médecin à mon retour et après les radiographies, fracture aigue de la malléole postérieure tibiale distale gauche, en bref une fracture à la base du tibia. C’est quand même surprenant que l’urgentologue de Barcelone n’a pas vu la fracture  alors que le médecin ici me dit qu’il est important de ne pas marcher sur mon pied gauche pour ne pas aggraver la blessure. Et dire que j’ai arpenté tout Barcelone à pied avec cette cassure après m’être fait dire que c’était qu’une méchante entorse. Faut croire que j’ai une trop grande résistance à la douleur. 




Repos complet et je suis privé de vélo, rando, marche, cabriolet (l’embrayage étant du côté gauche) pendant plusieurs semaines. 


8 juin 2019

Retour à la maison

Dernier jour à Barcelone. Mon avion est à 14h30 pour Montréal. Puisque j’ai une carte de métro qui se termine à 11h, je me rends donc à l’aéroport plus tôt pour profiter du magasinage dans l’aire sécurisée. Pour faire le lien entre l’hôtel et le terminal T1 au pas de tortue, il faudra 50 minutes. 

En arrivant, enregistrement pour se libérer du bagage et direction de la zone d’embarquement. À ma grande surprise, nous n’avons pas accès à l’aire des grands magasins des quais d’embarquement A, B et C, que j’ai visité sur le chemin de l’aller. En passant les douanes, il n’y aura qu’un dépanneur et un Burger King (que l’on voit d’ailleurs partout en Espagne) aux quais d’embarquement D de l’aérogare. Dommage.

Une fois dans l’avion et tous les passagers à bord, on nous informe d’un retard du départ. Nous serons retardés jusqu’à deux heures de plus. J’ai donc le temps de voir l’avion voisin, un Airbus A380-800, que l’on ne voit plus à Montréal. Toujours impressionnant de voir ce gros béluga des airs. 







Mon séjour en Espagne se termine donc après deux semaines. Avec mes petits incidents, j’ai perdu 4 jours de vélo, deux à Majorque, et deux en Gérone. J’ai quand même profité pour rouler la Serra de Tramuntana. Il n’y a que la chaleur qui m’a empêché de faire la montée de Sa Calobra. À plus de 30C cette journée-là, il était facile de descendre au niveau de la mer, mais la remontée, exposé plein soleil, je ne me suis pas lancé. Dommage puisque c’était la seule montée que je ne voulais pas manquer étant donné son décor à couper le souffle. Est-ce que je reviendrais à Majorque, probablement, maintenant que je connais un peu l’ile.. 

Maintenant, repos de ma cheville. Le Grand Prix de Montréal est déjà en cours. J’en profiterai peut-être pour sortir ma rouge au retour à défaut de remonter à vélo.  

À mon retour, il n’y aura pas vraiment d’extraits de ma GoPro, que j’ai l’habitude d’ajouter, ayant apporté le mauvais support avec moi, la GoPro est restée dans mon sac à dos.

Ceci met donc fin à cette aventure entre vélo et hôpitaux en Espagne. 

Une fois à la maison, il faudra déjà penser aux prochaines vacances 😉

7 juin 2019

Barcelone à pas de tortue


Une autre journée magnifique. La matinée sera nuageuse, toutefois la température toujours aussi chaude.

Aujourd’hui, je vais essayer de limiter mes déplacements, mais je ne suis pas capable de rester à l’hôtel. Première destination, la Casa Vicens tout près du Parc Guell. Je ferai la distance en métro pour redescendre à pied sur Passeig de Gracia après. 







Une fois sur la grande avenue, je repasse devant les endroits vus hier. Je fais quelques visites dans les bijouteries pour voir si je ne pourrais pas mettre la main sur des boutons de manchettes à l’image de Gaudi. Il y a Tateossian London qui en fait des beaux qui s’y rapproche mais je n’arrive pas à en trouver ici (il y en a chez Harry Rosen à Montréal). J’essaie aussi de trouver une boutique Omega, mais ça n’existe pas ici. Il n’y a que deux bijouteries qui tiennent la marque, mais pas de boutique exclusive. Je voulais aussi m’acheter des nouveaux souliers d’été ou sport, mais avec ma cheville enflée, impossible. 














Je poursuis ma marche jusqu’au Monumentale, l’arène des toréadors à Barcelone. Il n’y a pas de taureaux à voir aujourd’hui, mais si je reviens demain, il y en aura. Ce sera pour une prochaine fois. 





En remontant vers la Sagrada, encore une fois, les pistes cyclables sont vraiment bien organisées et sécuritaires à Barcelone. Je retourne à la Sagrada pour refaire une visite et m’informer s’il n’a pas par hasard des billets que se sont libérés pour aujourd’hui. Sans succès. Je fais le tour du propriétaire pour voir chacune des faces de la célèbre basilique de Gaudi.

















































Après ce petit tour, direction la Recinte Modernista de Sant Pau plus à l’est. 

















Il est déjà passé 13h30 et j’en profite pour luncher devant le monument. En attendant le service, ça me donne le temps de mettre sous presse la journée d’hier. Je reprends ma marche vers la place Catalunya au pas de tortue par différentes rues et avenues jusqu’à la cathédrale de Barcelone. Les pistes cyclables sont partout très bien aménagées. Sans mon handicap, j’aurais bien fait les visites avec une location de vélo au lieu de le faire au pas de tortue.







En déambulant dans les rues commerciales, je reçois un texto de tonton en visite au musée du célèbre violoncelliste espagnol Pablo Casals. Par hasard,   je lui envoie une photo de l’enseigne devant la boutique que je croise. Je reçois immédiatement un texto de sa part: « où es-tu mon chanceux? ». Il pensait que j’étais dans un célèbre magasin de violon, mais ma joke a bien marché. Stradivarius est en réalité une chaine de boutiques de lingerie féminine. C’était trop drôle. Et le hasard faisait que je passais devant quand il m’a texté de son musée. Je poursuis ma marche en ville.













Chemin faisant, je tombe sur une galerie d’art ouverte, j’entre et fait le tour au frais.













Direction la basilique Santa Maria dei Pi avant de retourner à l’hôtel changer mon bandage. À ma grande surprise, ma cheville est bleue et naturellement toujours enflée, pas beau mais bon, j’aimais mieux me déplacer que de rester à la chambre. Avec mon nouveau kit de bandage, je refais le tout pour ressortir à nouveau marcher dans le quartier gothique jusqu’au souper. 







Je repasse devant la Casa Palau Guell et au coin de la rue je recroise ces petits karts jaunes qui sont offerts en location pour visiter la ville en suivant les indications préprogrammées au GPS à bord. 





Depuis que je suis à Barcelone, tonton fait ses visites et je les fais de mon côté et on se rejoint pour les soupers. Ce soir, j’avais le goût d’aller voir un show soit de flamenco ou de guitares acoustiques espagnoles. En allant souper, je tombe sur un petit bar qui présente du flamenco ce soir. Le coût inclus un souper avec paella pour 45€, ce que je ne veux pas manger ce soir. Je me retrouve à nouveau sur Place Reial pour le souper, et en sortant vers 21h30, je refais quelques ruelles pour trouver un show de guitare et je tombe sur un spectacle dans la basilique Santa Maria dei Pi. Le concert en est déjà à la seconde partie. Le portier m’offre d’y entrer pour moitié prix mais m’avertit que ce sera en haut, et que le son est moins bon. Il me propose d’acheter un billet pour un autre soir pour être devant la scène. Avoir su, ce sera pour une prochaine fois. 











Retour dans les ruelles pour flâner et profiter de l’ambiance de la soirée dans les rues.











Pour ceux qui me lisent depuis quelques années, en 2016 j’avais écrit qu’il y a un parfum que toutes les femmes portaient à l’époque en Suisse, et je n’avais pas trouvé avec mon fin nez. Cette année, on ne sent qu’un parfum partout. La vie est belle de Lancôme. Bien qu’il soit sur le marché depuis quelques années déjà, mesdames, c’est le parfum à la mode cet été en Espagne.

Maintenant, repos jusqu’au retour à Montréal. Je dois déjà penser à prendre des rendez-vous pour mes mauvais souvenirs de vacances (petits bobos).